Le hic c’est que faire de l’éveil, travailler, étudier le vivant, surtout quand il est microscopique, monter une école de dans des zone géographiques moins favorisés, monter sa PME dans les biotechs, ça coûte cher, trop cher.
Il faut compter plusieurs milliers d’euros pour un microscope, plusieurs milliers d’euros pour une machine à PCR (machine qui sert a multiplier l’ADN), plusieurs centaines d’euros pour une centrifugueuse., plusieurs dizaines de milliers pour un bioréacteurs (appareil qui sert à cultiver les micro-organismes pour les étudier).
Il y a la une barrière injuste à l’accès au savoir, au potentiel inimaginable des micro-organismes que les makers sont données pour objectif de casser. Ces for de ce constat que les biomakers comme Loïc entrent dans une démarche de fabrication de leurs propres instruments d’étude du vivant avec le soutien technique des fablabs, avec un peu mois de rigueur que leur pendant industriel certes, mais moins cher, moins complexe et qui font le job comme on dit en anglais.
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